Menu MDD
- PARTICIPER AU MOIS DU DOC
Inscrire
ma programmation
Mois du doc
Espace pro

Membre LCDD, pour y accéder
connectez-vous d'abord dans
Mon espace

Qu'est-ce que la Cinémathèque du documentaire ?

LCDD
Mon espace

Courriel
Enter your email address.

Mot de passe
Enter the password that accompanies your email address.

Créer un nouveau compte
Réinitialiser votre mot de passe

Créer un compte pour s'inscrire au Mois du doc

Votre espace vous permet de personnaliser votre profil, d'accéder à tous les contenus du site et de mettre en favoris ressources, films, cycles et contacts, d'inscrire votre programmation..

/votre-espace-personnel
Mon espace

Film soutenu

Le Baiser du silure

À l’aube, un homme part à la recherche d’un silure. Ce très gros poisson originaire du Danube suscite la même méfiance qu'un étranger ou un inconnu, suspecté de déranger l’ordre établi. Le pêcheur se trouve confronté à des phénomènes mystérieux. Ce film imprégné d’un réalisme magique redonne aux termes "étrange" et "étranger" leurs sens primitivement indistincts.

Compositeur-trice de la musique originale du film

Blanca Camell Galí

Voir la fiche complète sur film-documentaire.fr

Informations

Année : 2018

Durée : 15 mn

Pays de production : France

Production : Le Fresnoy - Studio National des Arts contemporains

Avis

Ce film a été retenu - Commissions 2019

Composée de bibliothécaires, la commission de sélection de films documentaires d'images en bibliothèques prospecte la production récente et sélectionne des films pour une diffusion en bibliothèque.

Pourquoi nous avons retenu ce film ?

par Jean-Baptiste Mercey,

Membre de la commission de sélection d'images en bibliothèques

Le silure… étrange poisson… mystère (tapi dans les fonds vaseux) et monstruosité (sa taille, son régime alimentaire)… C’est d’ailleurs surtout cette étrangeté aux accents tant de fascination que de méfiance qu’explore June Balthazard, dans un film multiforme, envoûtant et sensoriel. Au total, cette drôle de tentative d’épuisement d’une figure des eaux douces dépasse les différents registres qu’elle convoque (poésie, film animalier, animation, fable) pour susciter, au-delà du seul silure, une réflexion plus ample qu’il n’y paraît sur ce qu’on appelle l’étrangeté.